Depuis 2014, en France, la Justice Restaurative propose à des personnes victimes et auteurs d'infraction de dialoguer entre eux dans des dispositifs sécurisés. Nassim (Dali Bensalah), auteur de homejacking, comme Chloé (Adèle Exarchopoulos), victime de viols incestueux, s'engagent l'un et l'autre dans une mesure de Justice Restaurative.
Autour d'eux : d'autres victimes, d'autres auteurs et des encadrants composés de professionnels et de bénévoles. Sur leur parcours, il y a de la colère et de l'espoir, des silences et des mots, des alliances et des déchirements, des prises de conscience et de la confiance retrouvée... Et au bout du film, des réparations intimes individuelles, enfantées par la rencontre de ces individualités.
2024
Césars : César de la Meilleure actrice dans un second rôle (Adèle Exarchopoulos)
César des Lycéens
nommé Meilleur film
nommé Meilleure réalisation
nommé Meilleur scénario original
nommé Meilleure actrice dans un second rôle (Leïla Bekhti)
nommé Meilleure actrice dans un second rôle (Élodie Bouchez)
nommé Meilleure actrice dans un second rôle (Miou-Miou)
nommé Meilleur son
nommé Meilleur montage
Ce film gorgé d’espoir, ode à la résilience, est une grande réussite. 20 Minutes
Jeanne Herry s’empare avec fermeté et droiture du thème peu exploré de la justice restaurative. Elle orchestre un fascinant dialogue entre victimes et délinquants. Le Figaro
Passionnant et d’une très grande justesse, parfois dur mais optimiste, ce long métrage est porté par des acteurs magnifiques. Le Parisien
Brillant dans son écriture, ce récit choral fait l’éloge du collectif et d’un dispositif méconnu mais réparateur, rendant au passage hommage aux hommes et femmes qui s’attèlent à son bon fonctionnement. Le Journal Du Dimanche
Grâce à un casting formidable - Miou-Miou, Gilles Lellouche, Leïla Bekhti, Adèle Exarchopoulos, Denis Podalydès, Élodie Bouchez, Suliane Brahim... -, lentement, la magie opère : la justice restaure, le cinéma répare. Le Point
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