Tout un monde perdu : Préface de Aziz Cheboub
Brahim Saci
1h26min15


115 pages. Temps de lecture estimé 1h26min.
Ce recueil est un bréviaire, un compagnon pour les heures sombres et les matins incertains. Il ne guérit pas les blessures, mais il les éclaire, les rend habitables. Il nous invite à poser nos pas dans les siens, à contempler nos propres mondes perdus, et à y planter, peut-être, une graine d’espérance. Car même dans la nuit la plus profonde, une étoile veille, discrète mais fidèle.
Tout un monde perdu n’est pas un livre que l’on feuillette distraitement ; c’est une porte que l’on pousse, un seuil que l’on franchit. À vous qui tenez ces pages entre vos mains, je dis : osez ce voyage. Laissez les mots de Brahim Saci vous envelopper, vous troubler, vous guider. Ils vous parleront de vos amours enfouis, de vos combats tus, de vos rêves qui persistent malgré tout. Ils vous rappelleront que la beauté, même brisée, reste une force invincible. Lisez ce recueil comme on écoute une mélodie ancienne, comme on regarde un ciel après l’orage. Laissez-le vous toucher, vous transformer. Car dans ces vers, il y a plus qu’un poème : il y a une voix qui vous appelle, un écho qui vous ressemble, une promesse que, même perdue, un monde peut encore être sauvé - ne serait-ce qu’en le chantant.